KROM LA AFERO DESANGE
LA AFERO DE LA LIBERA INFORMADO
DEVAS ESTI NIA URĜA PRIOKUPIĜO.
NI RISKAS FARIĜI PLI SKLAVAJ EL LA FALSAĴO DE LA INFORMADO KAJ LA TUTA KONTROLO DE LA NUNA SISTEMO REGANTA LA MONDO.
JEN: URĜA ALVOKO EL ĴURNALOJ EL FRANCIO.
LEGU ATENTEME... KAJ REAGU LAŬPOVE.
Chère Madame, Cher Monsieur,
Après la loi liberticide sur les Fake news, le chef de l’Etat continue de tisser sa toile pour aller encore plus loin dans le contrôle de l’information en France.Le politiquement correct gangrène déjà l’info diffusée par la plupart des médias subventionnés mais, pour Emmanuel Macron, ce n’est pas encore assez. En janvier dernier, il avait évoqué sa volonté de développer une information “neutre” que “l’Etat doit financer”. Ahurissant ! Son projet : “Financer des structures qui assurent la neutralité” avec dans les rédactions... des journalistes rémunérés par l'Etat pour la “vérification de l’information”. Autrement dit, c'est la surveillance et le contrôle de l’information par l’Etat, avec des médias “autorisés” et “vérifiés”, rémunérés sur fonds publics et chargés de distiller la bonne parole pour répandre la “vérité” d’Etat. Et le président de la République est déterminé à faire avancer son projet à toute vitesse. Il a commandé un rapport, qui vient d’être publié, pour la “création d’une instance d’autorégulation et de médiation de l’information”. En clair, c’est la création d’un comité de censure officiel, avec les “bons” médias obéissants, soumis au contrôle de l’instance et recourant à l’autocensure pour bénéficier de financements publics et de l'agrément de l’Etat. Ce projet est une attaque sans précédent sur la liberté de l'information en France. Mais ensemble, avec Boulevard Voltaire, nous avons le pouvoir de résister ! Car la seule solution pour que, demain, les Français puissent encore trouver une information non verrouillée par le pouvoir politique, c’est de donner à Boulevard Voltaire, votre média indépendant, dont les choix éditoriaux sont totalement libres, les moyens de produire et de diffuser la contre-information éradiquée de la plupart des autres médias sous la coupe de l’Etat. C'est pour garantir cette liberté et cette autonomie que nous ne recevons pas de subventions, publiques ou privées. Nous ne voulons pas mettre le journal entre les mains de l'Etat, ni d'actionnaires ou de pays étrangers, comme c'est le cas des plus grands journaux français – qui sont désormais aux ordres de leurs commanditaires. Nous mettons un peu de publicité sur le site, mais les recettes sont marginales et ne nous permettent pas de financer les frais de logistique, ni de dédommager les permanents qui passe 10h par jour, weekend compris, pour vous permettre de lire des articles de qualité chaque matin. Tout ce que nous avons fait jusque-là pour maintenir et développer Boulevard Voltaire, et donner de l'information alternative gratuite et de qualité à plus d'un million et demi de personnes, nous le devons au soutien engagé de citoyens, comme vous, qui ont à cœur de lutter contre les mensonges du politiquement correct et rétablir une véritable liberté d'expression et d'opinion en France. Aujourd'hui, nous voulons vous proposer de rejoindre le mouvement, et de contribuer, par votre don, à développer Boulevard Voltaire. Nous devons, très vite, renforcer et développer au maximum le sanctuaire de l'information indépendante que nous avons bâti sur Boulevard Voltaire et le faire connaître au plus grand nombre de personnes possible. C'est vital pour la liberté de l'information des Français. Mais pour y arriver, nous avons besoin de vous ! C'est pourquoi nous nous permettons de vous demander, à vous, lecteur de Boulevard Voltaire, de nous aider par votre don à produire et à diffuser, plus largement encore, une information libre, non censurée par le politiquement correct, non contrôlée par le pouvoir politique. Vous pouvez soutenir Boulevard Voltaire par un don de 30 euros par exemple. Vous pouvez aussi décider de vous engager plus avant dans notre action pour la liberté de l'information, et de donner 50 euros, 100 euros, ou même plus. C'est vous seul qui décidez du montant que vous souhaitez dédier à ce combat pour contrer la mainmise de l'Etat sur l'information donnée aux Français. Nous avons préparé une page spéciale où vous pouvez choisir de faire un don par carte bleue, par chèque, par Paypal ou par prélèvement, du montant de votre choix. Vous êtes totalement libre de choisir de soutenir Boulevard Voltaire ou non. Mais sachez qu'un média de cette taille ne peut pas survivre sans un minimum de moyens financiers. Alors, si c'est possible, aidez-nous à renforcer Boulevard Voltaire. C’est la seule alternative pour contrer la mainmise de l’Etat sur l’info. Merci par avance pour votre soutien. Bien à vous, L'équipe de Boulevard Voltaire --- Vous recevez ce mail car vous êtes inscrit sur notre site bvoltaire.fr.Si vous souhaitez vous désabonner de cette liste d'envoi, cliquez ici |
Ni estas "περιπατητικοί" kaj peripateante tra la Tuta Tera Teksaĵo oni restis jam kaptite por ĉiam ene de la retaj araneaĵoj... Do "alea jacta est" kaj ni uzas esperanton kiel lasta ebleco de liberiĝo...
jueves, 18 de abril de 2019
Ĉu la libera informado povus survivi en niaj tempoj?
Etiquetas:
libera informado
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